L’intermodalité au quotidien
L’intermodalité au quotidien
D’abord, c’est quoi l’intermodalité ?
L’intermodalité, c’est le fait d’utiliser et rendre complémentaire au moins 2 modes de transports différends lors d’un trajet. Il s’agit par exemple de commencer son trajet par le train et de le finir à vélo. C’est une option écologique car elle favorise l’utilisation de mode de transport en commun et/ou doux à contrario de la voiture.
Et c’est quoi les avantages ?
L’intermodalité est tous d’abord bénéfique pour les travailleurs qui habitent loin de leur lieu de travail ou pour qui une partie de la route n’est pas adaptée pour l’utilisation du vélo. En effet, avec le développement des transports en commun, notamment en zone périurbaine, il devient de plus en plus facile de commencer ou finir son trajet à vélo et de le compléter avec le train, le car, le tram, etc.
Ensuite, elle permet aussi aux touristes à vélo de commencer leur parcours à un point déjà éloigné de chez eux ou de faire le demi-tour de leur parcours sans se fatiguer ou manquer de temps.
Les conditions sont parfois très restrictives ou floues et les autres transports en commun acceptant les vélos restent rares. Ces conditions font que l’intermodalité reste peu développée en France alors qu’elle l’est particulièrement dans d’autres pays. Par exemple l’association quotidienne vélo et train est effectuée par 30% des habitants aux Pays-Bas contre 3% en France.
Et c’est quoi les avantages ?
L’intermodalité est tous d’abord bénéfique pour les travailleurs qui habitent loin de leur lieu de travail ou pour qui une partie de la route n’est pas adaptée pour l’utilisation du vélo. En effet, avec le développement des transports en commun, notamment en zone périurbaine, il devient de plus en plus facile de commencer ou finir son trajet à vélo et de le compléter avec le train, le car, le tram, etc.
Ensuite, elle permet aussi aux touristes à vélo de commencer leur parcours à un point déjà éloigné de chez eux ou de faire le demi-tour de leur parcours sans se fatiguer ou manquer de temps.
Les conditions sont parfois très restrictives ou floues et les autres transports en commun acceptant les vélos restent rares. Ces conditions font que l’intermodalité reste peu développée en France alors qu’elle l’est particulièrement dans d’autres pays. Par exemple l’association quotidienne vélo et train est effectuée par 30% des habitants aux Pays-Bas contre 3% en France.
Les conditions à respecter
Dans le centre-ville de Toulouse, plusieurs conditions sont à respecter pour emmener son vélo avec soi.
Tram : tous les vélos sont autorisés le week-end, et en semaine uniquement avant 7h, entre 9h et 16h, et après 19h.
Cabines Téléo : tous les vélos sont autorisés à la limite de 1 par cabine.
Métro et Bus : seuls les vélos pliables sont autorisés et ils ne doivent pas déranger les autres voyageurs.
Pour emprunter le train avec votre vélo, les conditions vont dépendre du type de train, de votre vélo et de la saison. Nous vous conseillons donc de directement vous rendre sur le site de la SNCF pour les consulter en détails.
Les conditions à respecter
Dans le centre-ville de Toulouse, plusieurs conditions sont à respecter pour emmener son vélo avec soi.
Tram : tous les vélos sont autorisés le week-end, et en semaine uniquement avant 7h, entre 9h et 16h, et après 19h.
Cabines Téléo : tous les vélos sont autorisés à la limite de 1 par cabine.
Métro et Bus : seuls les vélos pliables sont autorisés et ils ne doivent pas déranger les autres voyageurs.
Pour emprunter le train avec votre vélo, les conditions vont dépendre du type de train, de votre vélo et de la saison. Nous vous conseillons donc de directement vous rendre sur le site de la SNCF pour les consulter en détails.